dimanche 14 juin 2009

pronoms relatifs


Qui que tu sois
Eh ! qui va lent taquinant les acquis et qui libre liquide les quiproquos, démaquille les mots?
Quiconque taquine le verbe quitte à le déquiller s’enquiquine en équilibres instables jusqu’au sauve-qui-peut de l’inquisition grammaticale.

a) Querelle risque-tout
Une gigantesque bourrique sans éthique claque une romantique pathétique qui y craque quelques quenottes et crache quelques noms aérodynamiques sans souci de la linguistique. Cet antipathique astique, c’est classique, une supplique lyrique pour être quitte sans risque

b)Quoi encore!
Pourquoi, quoi qu’il fasse, quoiqu’il dise elle reste coi, décoiffée par sa mauvaise foi et son escouade de couacs? Couarde, elle se planque sous la couette, fonde une coalition entre elle et elle, se recoiffe et narquoise….

c)Dont acte
« Étant donné le bidon qui masque ton espadon, il y a maldonne. J’abandonne le bourdon pour le bourbon et je me donnerai sans pardonner au premier gardon amidonné. Je ne serai donc plus ton édredon, don Quichotte sans aiguillon! »

d) suis-je
« Ébrouée doucettement sans éclaboussures, je m’éboule enjouée langoureuse dans la mousseline et sans mouron me faire, je m’absous sans embrouille, ouverte à tout fougueux pastoureau énamouré. Où chalouper pour te trouver, t’amadouer et te savourer comme petit four?? »

e)Lequel de vous deux
« Quelquefois le quelque-chose en plus rend nickel le quelconque ou l’abominable. Entre les deux mon cœur tique taque comme un vieux juque-box. Pour lequel de ces coquelets vais-je coquelucher et claqueller du bec? »

(Si entre les deux son petit cœur acquiesce pour qui que ce soit, la suite en « a »… révision)

Quoi qu’il en soit se pronom sait sur la vie qui va, sans superlatif, subordonne au relatif